Une histoire de famille...
L’association Plumbago est née du désir de Savino et Sabrina Mazzone, frère et sœur, d’unir leurs compétences afin de chercher des moyens pour accompagner les artistes en début de parcours, dans leur développement professionnel, plus particulièrement dans le secteur du spectacle vivant. Sabrina a plus de 10 ans d’expérience dans l’accompagnement et le développement de projets artistiques (théâtre, danse, musique en région Rhône-Alpes et à l'Ile de La Réunion) et Savino est technicien de l’image et du son formé à l'IMCA Provence en Avignon.
Cette association créée en novembre 2009, fonctionne dans un premier temps comme un « laboratoire de recherche », se laissant le temps des rencontres et des projets. C’est un outil qui existe comme tel mais qui n’a pas la prétention de vouloir se substituer à d’autres structures d’accompagnement.
Cependant, Plumbago a des objectifs et des envies définies qui sont (article 2 des statuts) :
• Trouver des moyens alternatifs et solidaires pour travailler sur des projets artistiques entre professionnels du spectacle et artistes (en France comme à l’étranger) en réponse à la précarité qui touche le secteur du spectacle vivant.
• Accompagner le développement professionnel d’artistes indépendants ou de compagnies du spectacle vivant, peu ou pas structurés.
• Permettre la réalisation de créations audiovisuelles et cinématographiques.
• Permettre à terme l’autonomie de l’artiste ou de la compagnie.
Son fonctionnement se précisera au fur et mesure des rencontres et des projets qu’elle rencontrera.
Plumbago est hébergée à Cap Berriat, un lieu d’accompagnement et de soutien aux projets des 16-30 ans qui regroupe 120 associations. L’arrivée dans ce lieu en fin d’année 2011 a contribué au fleurissement de l'association grâce à une ambiance d’entraide collective et à la richesse des échanges. Plumbago défend l’idée qu’aujourd’hui il faut trouver « d’autres moyens de travailler », en étant dans un esprit de partage et d’échange de connaissances, en développant du réseau, et c’est ce que Cap Berriat défend aussi.